Les Wriggles, vous les connaissez ou vous les connaissez sans le savoir.
Ils chantent de partout et sur tout ce qui bouge. Des chansons d’humour à l’eau de rose, des tranches de quête absolue, des coups de veules, tout est permis. Ils racontent le monde comme ils le voient. Venir voir sa vie de leur point de vue, ça fait rire… ou grincer des dents…ou pleurer. Quoiqu’il arrive ça force à écouter. Ils espèrent ne pas être là où vous les attendrez.
Nouvelles chansons au menu : comment un modèle scrute-t-il la peintre qui l’observe ? De quel œil se voit cet homme qui accueille un réfugié ? Quel regard porte-t-on sur les générations d’avant ? Une chanson peut-elle fabriquer des images qui font vomir ?
Tous ces nouveaux textes évoquent un lien. Le silence tricoté main d’une famille modèle. L’attachement d’une chienne amoureuse. Le fil du discours d’un père branché à son fils. Le lien éternel entre deux amants. Une musique d’attente au bout du fil. Et comme l’attente des salles fut longue, les Wriggles prolongent du bout des lèvres le lien avec le public.