Fakear avance, sait être différent, évoluer. Dans sa manière de composer surtout : des prises de risques, des influences UK, des sonorités funky. Il a appris à se faire plaisir ! Et ça passe aussi par l’aspect visuel. Penser la terre, la pierre, la source. Ce qui fait que nous sommes.
Aujourd’hui Fakear, c’est avant tout Théo : avec son émotivité et ses combats assumés, comme celui de l’écologie. Il revient à ses premières amours jusqu’à sa maison-mère, Nowadays, sans pour autant regarder le passé avec nostalgie ou dégoût ; plutôt en le contemplant avec bienveillance, une tape sur l’épaule : « je me suis trouvé », admet-il. Et quand on se trouve, c’est qu’on a arrêté de chercher.